Le Pays profond est le pays de la Terre des vivants et des morts.Il est le pays du présent, des nationaux et de l’espace, vu comme prolongement du pays historique, celui qui vit et celui qui se souvient ; il est le pays du peuple de souche et de la Terre qui le porte depuis des millénaires.
Le pays profond se conçoit comme un arbre aux racines solidement plantées dans le terreau de l’histoire ; il se conçoit comme un être vivant, organique et charnel. Sa corporéité est faite des montagnes, des plaines, des forets et des rivages mais aussi des monuments construits par notre peuple depuis plus de deux mille ans. Le pays profond est donc visible, on peut le sentir, le respirer au détour d’un chemin forestier ou en visitant une cathédrale. Mais il a aussi une âme, une histoire, il nous parle par les écrits, les prouesses héroïques et les constructions des siècles passés.
Aussi, le pays profond a une âme, une présence qui ne se restreint pas aux hommes et aux institutions du présent. Il est beaucoup plus que le « pays réel » qui représente aujourd'hui la réalité sordide celle de notre pays envahi par la démographie africaine et dominé par 'oligarchie cosmopolite; il est le pays du souvenir, le pays des mythes ancestraux, pays des morts dont les lignées se prolongent aux vivants, le pays des aïeux qui viennent nous susurrer à l’oreille les vérités de notre race.
"L'enracinement est la qualité d'hommes et de groupes fidèles à leurs attaches et à leurs héritages territoriaux, culturels et historiques. L'enracinement s'oppose au cosmopolitisme de la civilisation occidentale. Ce cosmopolitisme provient de l'universalisme chrétien, qui a historiquement débouché sur le règne conjoint de l'individu et de la masse, au détriment de toute appartenance intermédiaire. De notre point de vue, le dynamisme créateur et les œuvres culturelles de portées mondiale ne peuvent être qu'enracinés. À une époque où le mondialisme arase les spécificités en un Système planétaire, l'enracinement constitue une réponse globale aux pathologies -- sociales, économiques, physiologiques, culturelles, etc. -- d'une civilisation mondiale paralysée et cancérisée. Il faut néanmoins se méfier des récupérations de l'enracinement comme immobilisme muséifiant, comme folklore ou comme fin-de-l'histoire, opérées par les idéologies occidentales. L'histoire européenne se fonde en effet sur un mode d'enracinement qui suppose conquête et désinstallation. L'enracinement, d'autre part, ne saurait être considéré comme un passéisme ; sa modernité lui est rendue notamment par les nouvelles technologies et les nouveaux modèles économiques qui insistent sur le développement autocentré et les autarcies territoriales. L'enracinement est donc pour nous d'abord enracinement dans une culture. C'est une notion dynamique, en relation directe avec la nécessité de l'actualisation d'un héritage."
- Citation extraite du "Petit Lexique du Partisan Européen" de Guillaume Faye, Pierre Freson et Robert Steuckers
"Capacité -- fondée sur la curiosité, l'esprit d'aventure et de conquête -- de sortir de son propre cadre de vie tout en restant fidèle à soimême et à son héritage. L'esprit bourgeois est cosmopolite et en même temps installé ; l'esprit aristocratique est enraciné et désinstallé. Les Bororos d'Afrique sont installés et enracinés. La désinstallation a été la marque faustienne des cultures historiques européennes. Conquêtes, découvertes scientifiques, assaut technique sur la nature, grandes aventures individuelles et collectives des "découvreurs et conquérants" procèdent de la désinstallation. Sans elle, l'enracinement devient enfermement et fin de l'histoire (l'esprit du pétainisme vichyssois -- "le retour à la terre-qui-ne-ment-pas", "la France seule" -- très influencé par une droite chrétienne et réactionnaire, est une bonne illustration d'une idéologie du renoncement et du masochisme culpabilisateur justifié par l'enracinement)."
- Citation extraite du "Petit Lexique du Partisan Européen" de Guillaume Faye, Pierre Freson et Robert Steuckers
"La modernité est une tendance culturelle, née progressivement en Europe, durant le Moyen Age, et visant à renouveler les traditions, en les actualisant, à dépasser (auto-dépassement) les formes de civilisation, les idées, les techniques en vigueur, par un appel à la régénération, liée à une intense conscience de l'historicité du temps. Notion ambiguë, négative et positive à la fois, le modernisme se confondit dès le XVIe siècle avec le progressisme, esprit d'opposition aux "anciens régimes" et aux traditions, liés à la philosophie téléonomique et segmentaire de l'histoire du judéo-christianisme puis des idéologies égalitaires. Dans cette conception prométhéenne de la modernité, l'ambiguïté réside en ce qu'une indéniable énergie d'autorenouvellement est mise au service d'un projet de fin de l'histoire. Nous lui opposons une conception faustienne de la modernité, dans laquelle le passé n'est pas dévalué mais inspire un futurisme constant et où la volonté-de-puissance, sous forme d'affrontement
voulu de l'avenir, rend l'homme créateur de lui-même dans l'histoire, c'est-à-dire démiurge. La technique moderne peut ainsi se réintégrer comme élément mobilisateur et donneur de sens à une montée-en-puissance collective. Les désillusions du progressisme, qui sombre aujourd'hui dans le présentisme ou dans la régression passéiste, laisse le champ libre à une "deuxième modernité du monde". La modernité est une de nos valeurs prioritaires de référence."
- Citation extraite du "Petit Lexique du Partisan Européen" de Guillaume Faye, Pierre Freson et Robert Steuckers
Je suis Française avec des origines irlandaises : je suis d'extrême-Occident. Après quelques années au Front National et dans le milieu faf, j'ai en ai constaté l'inutilité. L'électoralisme "national" se diluera dans de successives concessions à la diversité pour faire perdurer, coute que coute, les avantages des élus et des Le Pen; le militantisme natio classique deviendra bientôt intenable face à une population de plus en plus hostile et un pouvoir de plus en plus répressif. Il ne mènera pas bien loin les jeunes militants, si ce n'est en garde à vue et en prison pour les plus actifs.
Je veux être utile et surtout efficace. Je crois que l'action discrète et clandestine permet de viser plus juste. C'est pour cela que j'ai rejoint ce projet.
Je gère la partie graphique des sites et les visuels, je trouve les citations et les jpeg, je tape les Femen, je prépare les sandwichs et la nitro.
Ouranocratie (Le mot Ouranocratie est formé de Οὐρανός (Ouranós, « celui qui fait pleuvoir », une divinité primordiale personnifiant le Ciel et l'Esprit démiurgique) et de κράτος (krátos, « pouvoir, force, puissance »)
L’Ouranocratie désigne, par extension, le pouvoir de celui qui maitrise le ciel d’où il exerce le contrôle des mers et des terres et il frappe toute résistance adverse. L’après seconde guerre a consacré l’hégémonie de l’ouranocratie américaine sur la planète et ce, malgré les velléités concurrentielles russes, européennes et chinoises. Le contrôle ouranocratique se distingue par deux éléments : le pouvoir de surveillance (par le réseau satellitaire) et le pouvoir de frappe avionique et balistique. Le drone, instrument de surveillance et de frappe, incarne, depuis une dizaine d’années, la puissance de l’ouranocratie américaine.
L’engagement présent est né d'un éclair de conscience qui m'a permis de réaliser l'unité des contradictions ayant agi ma vie, faisant la synthèse des expériences vécues avec ma « ligne » et mon intime lucidité sur l'époque.
J'attendais inconsciemment cet élément déclencheur pour produire un contenu cohérent. J'y suis.
Ma première vie farouchement militante, mon esprit rebelle et mon coup de foudre pour la pensée nietzschéenne, ma formation dans les nouvelles technologies, mon « côté caméléon » et mon banditisme passager, mes responsabilités commerciales et ma pratique de l'ingénierie sociale, mes niveaux acquis en développement personnel, mes connaissances en polémologie et mon sens stratégique, mon intérêt pour l'histoire et la prospective, mon non-conformisme et ma vision du monde... tous ces éléments épars qui me constituent, ont enfin trouvé leur rassemblement logique dans la figure du pirate.
Mais cette prise de conscience ne serait qu'une auto-analyse égocentrique et vaine si elle n'accouchait pas d'un modus operandi, utile à tous. Nous y sommes.
Ecriture, recrutement, renseignement, ouverture des portes et des âmes
